CitizenM : un hôtel ultra design, hi-tech et pas cher (ou presque) à destination des nouveaux explorateurs
Je sors un peu du cadre du emarketing pour vous faire part d’une expérience marketing dans l’hôtellerie vraiment… sympa. Que diriez-vous de passer une nuit dans un hôtel ultra design, où règne minimalisme et domotique, le tout pour 79€ la nuit. Cet hôtel se trouve à l’aéroport d’Amsterdam et se nomme CitizenM : www.citizenm.com. Avec un M comme Mobile. Citoyens du monde, bobos baroudeurs, cet hôtel a été pensé et conçu pour vous.
Laissez-vous surprendre par cet hôtel modulable dès votre arrivée. Empruntez le sas aux vitres roses qui vous mène au lobby. Là, pas de vrai bureau d’accueil mais plutôt une petite table épurée avec un écran et une imprimante. Face à vous la canteenM, autrement dit la cafétéria pour les mobiles.
Une fois le tour du hall d’accueil et de ses 2 zones « lounge » fait, l’heure est venue de découvrir la chambre. Et là, c’est une vraie surprise : arrivée dans le couloir les portes des chambres ressemblent d’avantages à des portes de placards. C’est le concept qui veut ça, continuons sans crainte. 410, voilà la chambre. Tiens, il faut « badger » pour ouvrir la porte car c’est un système RFID. Chose faite, la porte s’ouvre. Et là vision d’un autre monde, d’une autre époque : je suis partagée entre l’idée d’une chambre super épurée et design comme on peut en voir dans les reportages sur le Japon ou carrément me demander si je ne suis pas dans la chambre de Corben Wallas (Bruce Willis) dans le 5ème élément ! Et pour cause les chambres sont en pré-fabriqué. Dit comme ça, ce n’est pas rassurant et pourtant tout y est : la déco, le style, la technologie et la vue.
Les toilettes et la douche sont au milieu de la chambre, isolée dans un tube de verre, plus ou moins translucide. Le lit, qui peut aussi faire aussi office de sofa, est au même niveau que la fenêtre ce qui donne une impression de hauteur vraiment sympa avec vue sur les pistes de l’aéroport. Un système de domotique Philips « MoodPad » vous permet de contrôler la télé (écran plat Philips bien entendu !), les stores, les lumières et la climatisation. Autre point d’importance pour les « connected » people que sont les Citizen Mobile : internet est en wifi et gratuit !
Voici une petite vidéo que j’ai faite avec mon téléphone (désolée pour la qualité) :
Le seul « défaut » que j’ai pu noter c’est l’absence de restauration. Il n’y a que la cantine (snacks) qui coûte affreusement chère (d’où le « ou presque » de mon titre). Mais bon, l’aéroport est à 5 minutes à pied et Amsterdam est accessible par taxi (compter 50€ minimum), navette ou train.
CitizenM Amsterdam n’est que le premier d’une longue lignée : Glasgow, Paris, Barcelone, Londres, Stockholm… les grandes capitales ne devraient pas tarder à accueillir d’autres établissements du même accabis. D’ailleurs le concept a été pensé jusqu’au site internet car qui dit citoyen dit droit d’expression. Ainsi sur www.citizenm.com vous avez la possibilité d’adhérer à la communauté des Citizen pour poster vos avis et humeur sur votre ville de passage.
Laissez-vous surprendre par cet hôtel modulable dès votre arrivée. Empruntez le sas aux vitres roses qui vous mène au lobby. Là, pas de vrai bureau d’accueil mais plutôt une petite table épurée avec un écran et une imprimante. Face à vous la canteenM, autrement dit la cafétéria pour les mobiles.
Une fois le tour du hall d’accueil et de ses 2 zones « lounge » fait, l’heure est venue de découvrir la chambre. Et là, c’est une vraie surprise : arrivée dans le couloir les portes des chambres ressemblent d’avantages à des portes de placards. C’est le concept qui veut ça, continuons sans crainte. 410, voilà la chambre. Tiens, il faut « badger » pour ouvrir la porte car c’est un système RFID. Chose faite, la porte s’ouvre. Et là vision d’un autre monde, d’une autre époque : je suis partagée entre l’idée d’une chambre super épurée et design comme on peut en voir dans les reportages sur le Japon ou carrément me demander si je ne suis pas dans la chambre de Corben Wallas (Bruce Willis) dans le 5ème élément ! Et pour cause les chambres sont en pré-fabriqué. Dit comme ça, ce n’est pas rassurant et pourtant tout y est : la déco, le style, la technologie et la vue.
Les toilettes et la douche sont au milieu de la chambre, isolée dans un tube de verre, plus ou moins translucide. Le lit, qui peut aussi faire aussi office de sofa, est au même niveau que la fenêtre ce qui donne une impression de hauteur vraiment sympa avec vue sur les pistes de l’aéroport. Un système de domotique Philips « MoodPad » vous permet de contrôler la télé (écran plat Philips bien entendu !), les stores, les lumières et la climatisation. Autre point d’importance pour les « connected » people que sont les Citizen Mobile : internet est en wifi et gratuit !
Voici une petite vidéo que j’ai faite avec mon téléphone (désolée pour la qualité) :
Voici une découpe de la chambre que j'ai trouvé sur le site "The style file". D'autres photos sont également disponibles sur le site de CitizenM :
Que dire après une soirée et une nuit dans cet hôtel ? Expérience unique et agréable même s’il faut pouvoir assumer le fait d’aller aux toilettes au milieu de la chambre pendant que votre cher et tendre regarde la télé à 3 pas de là ! Et l’aéroport juste à côté ? rien à dire, c’est bien très isolé, pas un bruit d’avion.
Le seul « défaut » que j’ai pu noter c’est l’absence de restauration. Il n’y a que la cantine (snacks) qui coûte affreusement chère (d’où le « ou presque » de mon titre). Mais bon, l’aéroport est à 5 minutes à pied et Amsterdam est accessible par taxi (compter 50€ minimum), navette ou train.
CitizenM Amsterdam n’est que le premier d’une longue lignée : Glasgow, Paris, Barcelone, Londres, Stockholm… les grandes capitales ne devraient pas tarder à accueillir d’autres établissements du même accabis. D’ailleurs le concept a été pensé jusqu’au site internet car qui dit citoyen dit droit d’expression. Ainsi sur www.citizenm.com vous avez la possibilité d’adhérer à la communauté des Citizen pour poster vos avis et humeur sur votre ville de passage.
Labels: Ca n'a rien à voir
posted by Marine Tranquard at
2:56 PM
|
0 comments
